Suivez-moi
dans les rues de Ouillis vous y rencontrerez des personnages hors du
commun : le curé casse-cou automobile, Yvon, le toubib au grand cœur,
Hammou, le chauffeur de taxi débrouillard, Coco le forgeron, maréchal-ferrant
et dentiste au destin tragique, Germain le Bourrelier fou de foot,
Jeanne, la mère de l’auteur et les autres ... Ainsi va la vie avant,
et pendant les « évènements » : l’examen d’entrée en
sixième, l’arrivée de l’électricité, de la machine à laver, du
tracteur, les jeux des enfants, le Cinéma sur la plage, mais aussi la
guerre, le premier mort de la Toussaint sanglante !
Découvrez
le phare du Cap Ivi, la maison du cantonnier, le bordj du
Garde-Champêtre.
Côte à côte : l’Eglise et le Temple protestant, et partout,
l’eau ! une eau claire et fraîche qui tombe en cascade et fend
le sable de la plage pour rejoindre la Méditerranée.
L’expression est alerte, maniée avec
humour souvent, avec tendresse ou gravité parfois, avec légèreté
mais précision toujours. Dans une langue qui s’écoule comme l’eau
claire de l’oasis : Ouillis tire son nom du Berbère : l’Oasis
de la Hyène.
(Présentation 4° de couverture)